Les yōkai (妖怪?, « esprit », « fantôme », « démon », « apparition étrange ») sont un type de créatures surnaturelles dans le folklore japonais. Ils sont souvent représentés comme des esprits malfaisants ou simplement malicieux démontrant les tracas quotidiens ou inhabituels.
Le Kitsune (狐) est un esprit renard appartenant à la famille des yokai, créatures surnaturelles japonaises. Animal polymorphe, il possède de nombreux pouvoirs dont celui de prendre l’apparence d’une jeune femme.
On raconte qu’il serait le messager d’Inari, déesse du riz et du commerce. De nature rusée, ce yokai adore jouer des tours aux humains.
« Noms communs : angélique officinale, angélique des jardins, angélique des prés, angélique vraie, grande angélique, herbe aux anges, herbe du Saint-Esprit, herbe impériale, racine du Saint-Esprit.
Nom latin: Angelica archangelica Syn. Archangelica officinalis – Famille botanique: Apiacées(Ancien nom de famille: Ombellifères). L’angélique officinale est une plante bisannuelle, persistante, d’une hauteur de près de deux mètres. Elle pousse fréquemment et d’une manière naturelle dans des endroits humides entre juin et août. »
L’angélique est une plante médicinale utilisée comme antispasmidique.
« Magnifique ombellifère, l’angélique officinale (Angelica archangelica) ou “herbe aux anges” se déploie au-dessus d’une longue tige creuse, cannelée, de couleur verte et violette. Elle porte de grandes feuilles découpées et des fleurs jaune verdâtre en forme de grosses sphères, les ombelles. »
Afin que son élève puisse se livrer en toute tranquillité aux méditations et aux autres exercices que comporte ce programme, il est presque certain que le lama lui ordonne de s’enfermer en tsham.
Wikipédia, Alexandra David Neel
Le mot tsham signifie barrière, frontière, ligne de démarcation. En style religieux, tsham veut dire s’isoler, s’entourer d’une barrière qi ne doit pas être franchie.
Il existe plusieurs sortes de tsham, chacune de celles-ci comprend un certain nombre de variétés, depuis le degré de réclusion le plus adouci vers le plus sévère..
Suivant la forme qu’il a adoptée, il est loisible…par exemple de faire le tour d’un édifice religieux…s’entretenir brièvement avec les membres de sa famille, avec ses domestiques et quelques rares visiteurs auxquels il se montre et qu’il a le droit de voir.
Ou bien il ne doit voir que les personnes qui le servent …
En progressant vers une réclusion plus sévère, nous trouvons le tshan–pa, qui ne voit qu’une seule personne attachée à son service.
Les monastères construisent des maisonnettes spécialement destinées à cet usage.
Les religieux sont les seuls à se servir de ces demeures spéciales et, fréquemment y séjournent pendant plusieurs années consécutives. Trois ans et trois mois est une période classique. Beaucoup renouvellent ces périodes plusieurs fois au cours de leur vie et certains s’enferment même dans l’obscurité complète…
Une idée courante en Occident est que l’homme ne peut pas s’accomoder de la réclusion et de la solitude complète car elles déterminent en se prolongeant trop longtemps de graves troubles cérébraux qui conduisent à l’hébétement et à la folie.
Toutefois les observations faites à leur sujet ne peuvent en aucune façon s’appliquer aux ermites du Tibet. Ceux-ci émergent de leur séquestration volontaire parfaitement sains d’esprit. On peut discuter les théories qu’ils ont conçues au cours de leurs longues méditations, mais il est impossible de contester leur lucidité.
Alexandra David Neel, mystiques et magiciens du Tibet.
(p 253-257 Presse Pocket)
« Il y avait dans son caractère une tension mystique qui passa presque inaperçue. Elle se révélait non seulement par ses lectures des formules ésotériques des alchimistes, mais aussi par l’attirance qu’il éprouvait pour la philosophie des platoniciens de Cambridge et leurs interprétations des prophéties des livres de Daniel ou de la Révélation. » Louis Trenchard More (biographe de Newton)
« Newton n’est pas loin de penser que Dieu lui-même a confié par le passé certains secrets à des hommes d’exception, à une élite. D’où l’idée d’une prisca sapiensa, d’une connaissance originale. Comme les savants de son temps, il considère que les écrits des Anciens représentent une expression incontournable de la vérité. »
« Sa venue au monde est mouvementée : il naît trois mois après la mort de son pèreN 2et, comme si cela ne suffisait pas, de façon prématurée.
…
Comme Barnabas ne veut pas s’occuper d’Isaac, celui-ci est laissé à la garde de ses grands-parents maternels, dont la famille, peuplée de gens d’Église et d’universitaires, sera chargée de sa formation. Mais cette séparation suscite en lui un fort sentiment « (d’)angoisse, d’agressivité et de peur »5 qui fait de lui un égocentrique précoce. Chaque fois que quelqu’un tentera de lui enlever ce qu’il estime être son bien, il répliquera avec une violence démesurée. Même s’il peut compter sur des oncles, tantes et cousins qui vivent dans les environs, il souffre de son enfance solitaire et cette souffrance contribue à son isolement.
…
Il se choisit également le pseudonyme alchimique Ieoua Sanctus Unus qui signifie en français : « Jéhovah Unique Saint », mais qui est aussi une anagramme d’Isaac Neuutonus75. Durant plus de 25 ans, Newton conservera le secret sur ses activités et surtout sur ses contacts, desquels il reçoit de très nombreux ouvrages et traités alchimiques, qu’il annote et recopie jusqu’à se constituer une des plus vastes bibliothèques alchimiques de son époque76.
Une grande partie de ses écrits de tradition alchimiste, non publiés, seront oubliés ou mal interprétés : lorsqu’en 1872 un descendant de sa sœur fait don à l’université de Cambridge des écrits et livres conservés par sa famille, le bibliothécaire renvoie à celle-ci une malle contenant les écrits « n’étant pas de nature scientifique77 » dont une grande partie de ses travaux alchimiques.
« Les Kogis sont les descendants des Tayronas, une des plus grandes sociétés précolombiennes du continent sud-américain à l’image des Incas, des Mayas ou des Aztèques. Ils vivent sur les hautes terres de la Sierra Nevada de Santa Marta, dans le nord de la Colombie. Ils sont environ 18 000. »
Association Tchendukua,fondée par Eric Julien après avoir été sauvé d’un œdème pulmonaire par les Kogis
« tu m’aides et je t’aide sans contrepartie rémunérée » se rencontre entre frères, beaux-frères ou voisins. Il n’est pas sans évoquer les systèmes de « SEL » (système d’échanges locaux), voire de solidarité qui se développe en cas de crise ou de pénuries dans nos sociétés modernes.
Harmonie, équilibre, solidarité, engagement, responsabilité, respect, écoute, en arrière plan de ce fonctionnement basé sur le don et le contre-don, se trouve un très « puissant » et très « efficace » système de valeurs partagées. Puissant, car il est en permanence expérimenté et entretenu par les Mamus qui en sont les gardiens vigilants. Efficace, car c’est sans doute grâce à ce système de valeurs et leur implacable détermination à le faire vivre, que les Kogis ont réussi l’extraordinaire tour de force d’arriver jusqu’à nous. C’est ce système d’intelligence collective, ce dialogue « créatif », indispensable à notre survie, cette intelligence « vécue », qui permettent d’incarner des valeurs au détriment du lien institutionnalisé ou contractuel qui éloigne et dissout la relation « sociale ». (LIK)
« …Les Kogis possesseurs de parcelles de café ont pu vendre leurs récoltes dans la vallée, dégager des bénéfices et acheter des objets de consommation introuvables dans la Sierra. Certains Kogis ont pu avoir ce que d’autres ne pouvaient avoir. Divisions, jalousie, et même vols, ce qui ne s’était jamais vu chez les Kogis, ont commencé à apparaître. La différence s’insinuait dans la communauté, créant des déséquilibres, puisque, contrairement aux objets ou productions traditionnelles qui se trouvent à profusion dans leur environnement naturel, certains ont soudain eu accès à des objets totalement nouveaux. La décision a donc été prise d’abandonner les plants de café et de les laisser mourir doucement. Une façon de conjurer la mort et la destruction de leur culture…
… Il(s) perdai(en)t surtout le système de don et de réciprocité qui fonde leur identité et l’équilibre social du groupe. (KOG) »
Au Moyen Age, la ville de Béjaïa en Algérie, est l’une des cités les plus prospères de la méditerranée.
Son commerce est florissant et on exporte notamment vers l’Occident une cire fine dont on fait de petites chandelles. Béjaïa étant appelée Bougie en français, on nomme ces marchandises petites chandelles de Bougie.
Aujourd’hui
Le mot Bougie qui était initialement un nom propre est devenu un nom commun. Il désigne toutes sortes de chandelles, quel que soit leur lieu d’origine et leur forme.
sucre
Au Moyen Age
Ce sont les croisés qui découvrent le sucre lors de leurs expéditions en Orient et le ramènent en Europe. Le mot sucre qui vient du sanscrit sarkara, apparait chez nous sous la forme de çucre dès la fin du XII ème siècle. Considéré Au Moyen Age comme une épice, il est aussi utilisé en médecine dans la composition des sirops. On le consomme également en cuisine, aux tables les plus riches, pour la réalisation de certaines douceurs comme les dragées ou les fruits confits.
Aujourd’hui
L’orthographe du mot a évolué au fil des siècles, de çucre à zucre jusqu’à sa forme actuelle.